La coopérative écologique est née le 7 avril 2013 à Paris, dans les locaux de la mairie du deuxième arrondissement à Paris.
Dommage, les premiers résultats obtenus, après une quelque mois d'existence sont médiocres. Ce qui ressort des impressions de la population en la matière semble largement insuffisant pour "accrocher" les intelligences et les enraies. Qu'à t'on à reprocher à la coopérative écologique ? Rien, si ce n'est la rapprochement inévitable, que les citoyens peuvent en faire de Europe écologie et de es dirigeants qui indirectement sont à l'origine du projet. On pourrait avancer qu'il s'agit d'une erreur tactique, car chacun sait aujourd'hui que pour la majorité des citoyens le vrai politique ne se joue pas ailleurs qu'e dehors des champs du politique à proprement parler mais dans l'action associative.
C'est dommage que les dirigeants d'Europe Ecologie n'aient pas voulu faire preuve de davantage de fluidité dans la mise en oeuvre de leur action d'abord parce que les impératifs écologiques sont l'affaire de tous et de chacun, ensuite parce que la mise en oeuvre et l'organisation de e mouvement sont un modèle du genre en matière de fonctionnement,ils font appel à la société civile et aux citoyens sans discrimination aucune et partent des revendications du bas pour aller vers le haut. Exactement comme nous l'avons imaginé pour l'OIA.
Regardons comment fonctionne la coopérative écologique :
Bien davantage qu'un simple regroupement à vocation écologique supplémentaire, il semblerait bien que cette dernière soit une application toute nouvelle mélangeant les principes de neutralité politique avec ceux de gouvernance collective. "Nous avons passé de heure, au téléphone, à lire les textes et à décider ensemble de la moindre virgule, avec ceux d'un collectif nantais dit Joëlle Taillefer de Saint-Raphaël (Var).Le tout donne un texte intéressant, une véritable charte que nous mettons en ligne à votre disposition, ici.Les textes ont été votés par les 60 personnes présentes sur les deux jours qu'a duré le week-end, nous en avons fait partie chez Respublica, en ce qui concerne le deuxième jour. Pourquoi ce choix, alors même que nous faisons le partie d'être complètement neutre politiquement et en dehors de partis ou groupements politique ? Tout simplement parce que la coopérative écologique répond strictement aux même objectifs que les nôtres : à savoir être un laboratoire d'expérience et de recherches sur des thématiques bien particulière touchant à la société afin de pousser à l'action non partisane, juste efficace. Par ailleurs, la coopérative écologique est un bon point de départ pour l'Organisation des Etats Indépendants et Autonomes (OIA), concept qui est le nôtre et dont nous faisons la promotion chez Respublica. Notre cible principale est le secteur associatif. Or, au sein de la coopérative écologique vont s'inscrire des groupements ou associations motivés par la cause écologique, donnant leur avis selon des modes de gouvernance fluide et éthiques. Ainsi, à la coopérative écologique : un individu = une voix, un groupement ou une association = une voix. De quoi remettre en cause profondément nos schémas de pensée classiques selon lesquels la gouvernance doit être verticale (on a ici affaire à un organigramme qui n'est même pas horizontal mais solaire, ce qui permet de ne perdre aucune des potentialités qui s'offrent), et un mode de gouvernance qui ne permet pas la constitution de rapport de pouvoirs assis sur de grandes structure qui domineraient les autre.Pour l'OIA, le principe que nous avons prévu est le même : pas de structure qui commande les autres et un mode de gouvernance qui permet à chaque entité, qu'elle ait la personnalité juridique physique ou morale, d'être sur le même pied d'égalité que les autres.Ainsi, aussi surprenant que cela puisse paraitre suivons nous la méthodologie suivante : un Etat = une voix, une entreprise = une voix, une association= une voix, un individu = une voix.A quoi sert réellement la coopérative écologique ? A fédérer les ressources le potentielles, en matière d'idées, de réflexion, de potentiel matériel, humain autour de la question de l'environnement, du paysage, de la santé, de l'humain…Si cette dernière fonctionne correctement, elle peut constituer une force et un point d'appui pour que de décisions de plus en plus favorables soient prises par les pouvoirs publics en faveur de la protection du Vivant. Le fruit du travail de la coopérative, pourrait être un point de départ pour que, à l'OIA, en juin 2018, nombreux soient les citoyens, les associations, les groupements et les individus qui en ont entendu parler et qui veulent y participer.Nous nous sommes déjà inscrits dans cette optique et avons parlé de l'OIA et de son principe à la coopérative écologique. Nous avons bien l'intention de continuer…Une véritable plate-forme et née aujourd'hui, apolitique, prête à drainer tous les compte-rendus d'expérience. elle dispose d'une Charte et de Statuts. A peine, peut on déplorer que dans les objectifs de long terme, les constituants aient choisi les termes "Contribuer à la création d'une Europe fédérale". On pense chez Respublica, que l'Europe Citoyenne, celle du peuple, ne peut exister qu'à travers des Etats souverains, libres, indépendants les uns des autres, afin de créer des liens véritables, autres que motivés par la Peur. Même chose pour les Armées. C'est une condition de Paix, mais aussi de fidélité à notre histoire. Ceci pour avertir le lecteur…A bon entendeur…Salut…La suite des aventures de la coopérative écologique et les références du site au prochain numéro…Noura Mebtouche de Respublica.Le mouvement des peuples libres et autonomes.
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