Nos chances pour la paix dans le monde, à l’aube de la commémoration des accords de Paix, Paris, Versailles, 1919.
-Elles se nouent dans le lien avec l’Afrique : la commémoration du débarquement de Provence en présence d’un président de la République en est un symbole, d’une coopération au delà des clivages et d’une histoire parfois lourde en reproches mais riche en nouveaux espoirs de nouveau départ.
-dans notre intérêt pour le projet chinois des routes de la soie, et notre coopération active, notamment en lien avec l’UPM.
-Dans nos capacités à faire du lien avec la Russie au nom de liens antiques et ancestraux et à ouvrir avec, d’autres perspectives que la simple juxtaposition et coexistence entre deux grands ensembles géopolitiques, et donc par des accords bilatéraux.
-Dans notre refus de participer aux mesures d’intimidation américaines en Iran ou en mer de Chine (Pacifique), notre volonté de ne pas y être pour éviter toute prise à partie dans un incident international quelconque,
-En sens inverse, dans notre capacité à suggérer la possibilité d’une coopération entre nos armées dans le but d’une coalition préventive pour la Paix tripartite, dans certaines zone fragiles (comme Kapisa en Afghanistan par exemple).
-Dans notre capacité à faire émerger une autre Europe, sans perdre les acquis de l’Union Européenne.
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